Description

Si vous pouviez poster une description de votre personnage (vous évoluez et on ne se redécrit pas assez) ici même, ce serait bien agréable. Et si vous le désirez je pourrais décrire ou re décrire certains pnjs.

Au premier abord, Lysandir ressemble à un humain dont il est difficile de reconnaître l'origine. Il parle le commun avec un léger accent. Un examen plus attentif dévoile une ascendance elfique. Mesurant dans les 1m80 pour un poids d'environ 70 kg, il donne souvent l'impression de regarder le monde avec détachement, calme et sérénité. Toujours courtois et souriant avec les personnes qu'il rencontre, il semble d'un abord agréable. Il a des yeux en amande, couleur émeraude, au milieu d'un visage fin au ton hâlé. De longs cheveux blonds et soyeux tombent en cascade sur ses épaules. Il les attache parfois sous la forme d'une queue de cheval ou les tresse, les agrémentant alors de plumes.
Il porte la plupart du temps un long et ample vêtement d'un léger vert brun, orné de broderies et de perles, à la coupe simple bien que d'excellente facture. Un oeil exercé peut remarquer parfois la présence d'une chemise de mailles délicatement ouvragée en dessous. Attachée par une fibule toute simple, une cape noire volète doucement dans son dos. L'équipement de Lysandir se complète par une paire de bottes marron, de longs gants de bonne facture, un ceinturon portant deux fourreaux, un contenant une épée longue et l'autre une dague. Il transporte enfin dans son dos un arc long composite de belle facture et un carquois d'une vingtaine de flèches.

De longs cheveux noirs de jais tombent en cascade jusqu’au bas de mon dos. Retenus par une fine cordelette tressée de fils d’argent maintenant en son centre une aigue-marine facettée en marquise, ils dévoilent les traits doux d’un visage fin que domine le regard gris et profond, envoûtant et lointain, d’un olve.

Description I
Le col d’une chemise en soie blanche dépasse d’une longue tunique, fendue sur les côtés et qui tombe jusqu’à mes pieds. Brodées aux extrémités de fils d’argent, les entrelacs géométriques jouent avec les tons marins, bleus et verts, qui dominent le reste de mon pourpoint. Un pantalon en soie blanche, porté près du corps, se dévoile parfois, laissant alors apparaître d’élégantes bottes de cuir souple qui viennent galber mes pieds et mes chevilles. Lorsque le temps l’exige, je me calfeutre dans un manteau de brocard, aux couleurs marines et aux broderies d’argent qui rappellent ceux de ma tunique.

Description II
Je porte une tunique de soie grise qui se resserre au niveau de mes poignets. Des broderies d’argent, dont la couleur se fond dans ce tissu, montent le long de mes bras telle une plante grimpante. Par dessus, un tabard de velours, où les tons bleu sombre et vert de gris s’entremêlent en un motif délicat, descend sur mes hanches. Un pantalon fuselé de soie grise galbe le bas de mon corps. Des bottines en cuir montent jusqu’au haut de mes chevilles. Enfin, je suis enveloppé dans une interminable cape, retenue par une fibule en argent qui évoque un cygne aux ailes déployées le long du corps, et dont les couleurs rappellent celles du tabar.

L’allure assurée, j’avance d’un pas souple et décidé.

Aller aller, un peu d'efforts pour les descriptions, on en a que 2

Oui oui, j'arrive mais en ce moment c'est un peu la course niveau taf. Mais promis, j'essaie de faire ça au plus vite.

Voilà la troisième :

Aenor est une femme d’age mûr, environ quarante ans. Mais malgré le passage des années, sa beauté reste éblouissante. Certains, qui ne l’ont connu que récemment, peuvent regretter de ne pas l’avoir rencontrer du temps de sa jeunesse.
La chevelure brune, ondulée, retombant lourdement sur les épaules, la peau au teint mat et les yeux couleur ambre la distingue nettement comme appartenant au peuple Flana. A la différence cependant des autres membres de ce peuple, aucune plume ni ornementation ne parent ses cheveux. Elle ne porte comme tout bijoux que des boucles d’oreilles en or finement ouvragé, parfois un fin bracelet d’argent orné de pierres bleues au poignet droit et un médaillon représentant le symbole de Saint-Cuthbert.
Il semble qu’elle soit d’un caractère sombre, peut-être enclin à la mélancolie. Quoi qu’il en soit, les sourires sont distribués au compte-gouttes et nul n’a entendu résonner son rire depuis bien longtemps semble-t-il. Ceux qui la côtoient ont pu remarquer que son regard se perd parfois dans le vague alors qu’elle fait tourner machinalement l’alliance qu’elle porte à la main gauche.
Ses vêtements sont choisis avec goût et pour être simples ils n’en sont pas moins de qualité. En période estivale, elle porte des robes légères aux tons pâles, souvent bleus ou blancs, parfois jaunes ou lavande. Une ceinture à laquelle sont accrochées de nombreuses bourses enserre sa taille. Aux pieds, de simples sandales de cuir. Certains affirment pourtant l’avoir vu vêtue d’atours moins féminins et partir, masse au côté, portant un pantalon de cuir noir, une chemise blanche, une cape de voyage et chaussée de botte de cuir souple.

Ribben mesure un peu plus d’1,80m avec une corpulence d'athlète. Des cheveux roux coupés court mais élégamment mettent en valeurs la beauté significative de ses traits fins pouvant un instant laisser planer un doute sur ses origines oeridiennes. Il se déplace d’une démarche souple, l’air avenant, le sourire charmeur et le rire facile…

Ribben n’utilise que très rarement du parfum, et de manière très légère, mais il prend régulièrement, voir tous les jours quand il le peut, un bain. Un odorat aiguisé comme celui de Shya peut donc percevoir une odeur de savon fait à partir de graisses végétales, huile d’olive et de baies de laurier pour être plus précis…

Il possède plusieurs tenues vestimentaires dont en voici les plus connues :

- Un pantalon de cordwain noir glissé dans de hautes bottes elles aussi en cordwain. De l’une d’elles dépasse le manche d’un fin stylet. Un gilet de velours noir sans manche, fermé par des boutons d’argent, par-dessus une chemise de soie oeridienne verte ou grise à col et manches à lacets. Une grande cape bleue nuit en delaine lui permet de se protéger d’une fine pluie ou d’une brise un peu trop fraîche. Un chapeau à large bord en feutre, parfois orné d’une petite plume colorée, complète l’ensemble.
A la ceinture, deux petites sacoches, ainsi que deux bourses proches de la garde d’un cimeterre porté sur le côté droit dans un fourreau de cuir dont la pointe est doublée de fer. Une longue dague est visible dans un fourreau attaché le long de la cuisse droite.

- Une tenue similaire mais dans des tissus moins coûteux (corduroy, suede, laine,…) et où les bottes sont celles trouvées dans le repaire du faucon. L’armement est identique.

- une tenue bakkluni composée d’un pantalon et d’une tunique amples en coton blanc ekbirien, d’un gilet sans manche en chintz imprimé de volutes dorés, d’une longue ceinture de soie rouge faisant plusieurs fois le tour du ventre et de fines chaussures de cuir souple. Une grande cape rouge en delaine et un chèche en coton complètent l’ensemble. Le cimeterre est glissé dans un fourreau de cuir gravé de chevaux aux galops. Les sacoches de ceintures sont remplacées par plusieurs bourses. Des anneaux en or et en argent ornent plusieurs doigts

- il est possible que certains l’aient aperçu dans l’arrière-cour du Poisson d’argent vêtu de haillons de mendiant…mais était-ce bien lui en fait ?

- une tenue "décontractée" qu’il a pas mal revêtue après l’affaire du Faucon. Un simple pantalon de velours oeridien marron et une grande chemise de coton blanc ekbirien au col à lacets et aux manches amples, avec de simples sandales de cuir

- et bien sur la sempiternelle tenue de voyage, n’oublions pas que nous avons l’habitude de courir par monts et par vaux…Composée des bottes de cuir trouvées dans l’antre du Faucon, un pantalon en velveteen, d’une chemise en coton kéolandais ou en flanelle suivant la température, d’un gilet en suede sans manche, d’un manteau à capuche en laine épaisse si le temps le nécessite ou d’une grande cape de cuir huilée s’il tourne à l’orage, le tout dans des tons bruns…Une écharpe de laine et un chapeau à large bord complètent l’ensemble…
Un grand sac de marin en toile de lin épaisse, au fond doublé de cuir et fermé par un gros lacet en bandoulière ou sur une mule et nous voilà prêt à partir…

Shya-maë Sangar
C'est une grugach exeptionnellement grande (quasiment 1,90m),aux membres longs et secs dotés d'une importante musculature noueuse.Sa silhouette est longiligne avec des formes féminines peu marquées, poitrine menue, hanches d'adolescente, taille de guèpe et quelques légères rondeurs au niveau des fesses.Son dos porte un grand tatouage "tribal"représantant une licorne révoltée.
Elle a un visage plutot agréable mangé par des tâches de rousseur qui ressortent sur sa peau pâle. Son nez est en trompette et ses oreilles fines et pointues. Ses yeux en amande bleu profond ne reflète pas la mélancolie elfique attendue mais plutot une absence dérangeante d'emotion.
Ce regard s'embrase parfois de colère, de haine, avec un désagréable relent de folie.
L'ensemble et courronné d'une flamboyante crinière de cheveux roux.
Shya-maë est plutot jolie mais ...

Elle porte de nombreuses afflictions de sa vie aventureuse: Dents cassées, derniere phalange du petit doigt gauche et index gauche amputés, profondes marques de brulures sur les épaules, le haut du dos et dans la paume des mains, nombreuses traces de coupures mal cicatrisées sur le ventre, les cuisses et les bras (scarifications?),
crevasses d'anciennes gelures sous les pieds et sur les mollets ainsi qu'un nombre important de cicatrices diverses. Une particulièrement notable est masquée par ses cheveux, les traces d'un coup contandant tres violent sur le haut du front.
Ses doigts, coudes, genoux, pieds, arcades sourcillières sont déformés, couverts de cals et nombre de ses os ont sans doute été fracturés. Pourtant la chose se deplace encore avec une vitesse et une souplesse surhumaine.

Tenue comune
Elle porte en general une simple tunique courte (trés courte) en tissu grossier ou en fibre végétal dans les couleurs brunes ou vertes qui assez rapidement se couvre d'accros et de reprises.A la taille elle a une large ceinture de cuir craquelé qui retient de nombreuses bourses de tissus ou de cuir (dont quelques fameuses bourses en peau d'homme lezard) ainsi qu'un fourreau de cuir tanné et une saccoche. Dés que la temperature chute elle s'enmitoufle dans une grande cape de fourrure de taï-taï blanc dont la capuche porte encore les dents et les oreilles du félin, elle est parfois remplacée par une longue cape bleu-nuit brodée de liserets cabalistiques. Ses avant-bras sont couverts par des bracelets de cuir noir et de métal argenté couvert de gravures ésotériques.
A son cou pend de nombreux "gri-gri": un collier de dents de felins, un lacet de cuir avec une petite bourse, une chaine argentée avec un galet dans un etuis de cuir, un simple lacet avec un petit medaillon de bois representant une feuille (d'arbre fyn!) et une chaîne extremement fine retenant une sorte de noix en cuivre l'ensemble bien evidement rehaussé de plumes diverses.On peut aussi aperçevoir un simple anneau d'argent a son annulaire gauche.
Dans son fourreau repose une épée tranchant de par sa facture avec le reste des habits, c'est une longue épée argentée couverte de rûnes "nordiques" et a la garde representant un crâne de cerf avec ses cornes. C'est un objet d'une finesse remarquable certainement "olvique". Dans son dos depasse un grand arc a double courbure décoré de motifs floraux rustiques ainsi qu'un carquois en daim contenant des flêches a empennage sombre (et parfois en plume de griffon).
Pour finir Shya-maë ne porte ni chaussures ni lingerie.

Tenue de ville (parfois)
Pantalon de tissu grossier (couleurs variables) ample et attaché sous le genou, chemise de marin crême ou grise, fichu couvrant ses cheveux et une cape de tissu.

Tenue polaire (parfois)
Tenue complète en taï-taï blanc plus la cape...ça fait peur..

Odeur
En ville shya-maë pue, elle sent souvent l'egout, la graisse froide, l'humain, la sueur, et parfois le savon. Elle se lave pourtant régulièrement mais rien n'y fait.
Dans la nature son odeur naturelle revient assez vite apres quelques jours de vadrouille, un mélange de plantes et de terre, rustique mais pas désagréable pour ceux qui savent apprécier.
Apres un combat elle sent le sang (beaucoup) et plus rarement le vomis de ses victimes voir des odeurs plus deplaisantes: urine, dejections ou entrailles..ah ! les joies du combat rapproché.

Gout
La viande de Shya est filandreuse et difficile a mastiquer elle a cependant un gout pas désagréable assez proche de l'agneau.

Shya-maë

cela ne correspond pas tout à fait à la description mais voilà à quoi peut ressembler Ribben en habit de tous les jours lorsqu'il est en ville, sans la moustache bien sur

Un mousquetaire